L’arrêt de la prise de tabac s’avère souvent assez difficile. Toutefois, cette opération n’est pas impossible, et cela, peu importe, la quantité de tabac consommée. Découvrez ici à partir de quel moment on peut observer les bienfaits de l’arrêt du tabac.
Entre 20 minutes et 8 heures
Une vingtaine de minutes après avoir fumé la dernière cigarette, le fumeur peut déjà ressentir les bénéfices d’un tel sevrage. En effet, à partir de cet instant, la pression sanguine ainsi que le rythme cardiaque sont réduits. Les pulsations cardiaques autrefois altérées au cours de chaque consommation redeviennent stables.
À partir de 8 heures après ce geste, il y a réduction de la quantité de monoxyde de carbone présent dans le sang. Vous pouvez consulter https://arreter-de-fumer.net afin d’avoir plus d’informations sur l’arrêt du tabac.
12, 24 et 48 heures après la dernière prise
Les 12 heures qui suivent l’arrêt du tabac permettent de bénéficier du retour à la normale du taux sanguin de monoxyde de carbone. Il y a également à partir de 24 heures, une diminution du risque d’infarctus. Les poumons se mettent à cet instant à se débarrasser du mucus et des résidus de fumée.
À ce stade, vous pouvez déjà être heureux, car le corps n’est plus encombré par la nicotine. Deux jours après l’arrêt du tabac, le goût ainsi que l’odorat du fumeur deviennent plus performants et il respire plus facilement.
2 à 12 semaines après l’arrêt du tabac
Environ 12 semaines après la consommation de la dernière cigarette, il est constaté une amélioration de la circulation sanguine. Il est aussi constaté chez l’ancien fumeur, une augmentation de la fonction pulmonaire. Ceci entraîne la diminution de la toux et de la fatigue.
Un mois à un an suite à la consommation de la dernière cigarette
Lorsque vous comptez 1 à 9 mois à la suite de l’arrêt de la consommation du tabac, les cils des bronches se mettent à repousser. Ceci fait que le fumeur devient moins essoufflé et peut marcher aisément.
Après un an, l’ancien fumeur est moins exposé au danger de cardiopathie coronarienne comparé à quelqu’un qui continue de fumer. Les affections coronariennes résultent de l’interruption ou du blocage de l’approvisionnement en sang.
5 à 15 ans suite à l’arrêt définitif du tabac
Après 5 ans, la personne sevrée court moins de risque d’accident vasculaire cérébral. Le risque de développer certains cancers diminue également après 10 ans. Il s’agit par exemple du cancer du poumon, de la vessie, du col de l’utérus, etc. Après 15 ans, la personne sevrée a un risque de cardiopathie coronarienne égal à celui d’un non-fumeur.